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mon bel amiens ou pour un supplément d'âme amiénois
mon bel amiens ou pour un supplément d'âme amiénois
  • c'est bien parce que j'aime ma ville. et qu'on a que trop peu l'occasion de partager à ce sujet. Idéale par sa situation, par sa taille, par son milieu, par son histoire, son patrimoine par ses habitants, Amiens est vraiment mon bel Amiens.
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mon bel amiens ou pour un supplément d'âme amiénois
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29 janvier 2008

Parc de la Hotoie: présentation des projets d'architecte

C'était le 23 janvier dernier. La maison de l'architecte d'Amiens recevait les architectes qui ont planché sur le concours d'idée pour refaire le parc de la Hotoie. Le plus vieux Parc de la ville n'a en effet jamais réellement été refait depuis les années 60 periode ou l'allée centrale voyait encore passer les voitures.

La motivation d'une telle réunion était due au constat que la profession (les architectes) n'a absolument pas connaissance des projets qui sont menés à Amiens, et le seul moyen est donc d'aller les chercher soi-même. C'ette opportunité a été l'occasion de tenir un registre pour conserver les avis des amiénois un réel exercice de démocratie.

Gilles de Robien, qui faisait l'ouverture a commencé son discours par dire que de toute façon c'était un concours d'idées donc qu'aucun des projets ne verrait le jour, mais qu'il était essentiel d'en discuter pour faire évoluer les idées. Il a evoqué le lieu magique qu'est le parc, le pendant végétal de la cathédrale minérale, qui est sous exploité.
il a reproché le caractère trompeur des dessins d'architectes, et la demande futur de faire des plans avec des dessins en hiver pour voir ce que ca fait avec des arbres sans feuille.
Pour enfin finir par citer shakespear: "il n'y a de ville que par ses habitants". Bravo shakespear

J'étais un peu loins alors surtout tendez l'oreille.

Equipe A
Le Projet repose sur une recomposition du parc avec le maillage urbain environnant, les allées sont le prolongement des rues adjacentes. Une dissymétrie pour une recomposition d’un paysage varié. Depuis le centre villes a travers l’axe central en pate d’oie, un deuxième axe menant au nouveau parvis du Zoo, la petite Hotoie, un parc a l’anglaise en contact avec le parvis. Un côté minéral et un végétal. Au nord pour des jeux libres, et minéral plus structuré pour les jeux de ballon d’enfants. Sur le carré sud le kiosque dans un écrin de verdure aéré de pelouse vers un belvédère sur le bassin des régates avec un promontoire. Le bassin est conservé, les berges adoucies, des traversés piétonnes avec pontons. La réorganisation des grands espaces de pelouse avec une frange pouvant accueillir des jeux, animations. A l’ouest, un belvédère remet le Pavillon Bleu dans le parc. L’axe historique accompagne jusqu’au cœur du bassin rond.

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Equipe B
Il s’agit la de remettre en scène des éléments naturels, la nature reprend ses droits plus on s’éloigne du centre ville. Travail symétrique, graduant minéral vers plus végétal. L’esplanade en revêtement minéral est totalement dégagée de tout équipement pour avoir un maximum de polyvalence pour les spectacles et les foires. Une lisière boisée cache la route, et des places de parking. Les deux quinconces : le kiosque maintient une trame végétale plus aléatoire dé-densifiée. Pour accompagner des petites constructions bâties pour buvettes, local, sanitaires etc. Le Bassin des Régates est recomposé avec des petites iles végétales dans l’esprit d’étendre le zoo (observatoire pour faune, flore). La grande esplanade garde une pelouse dominante, avec des bosquets et jeux d’enfants.

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Equipe C
Découpage séquentiels des activités proposées sur le parc tout au fil des saisons en fonction de le l’eau, il est proposé la suppression du bassin des régates, qui n’est pas un élément historique. A la place il est proposé de faire entrer la  basse Selle qui passe autour du parc et d’en faire ainsi un réservoir pour gérer les crues décennales. Alors hors période de crue un mince filé d’eau irrigue le par cet laisse place a des terrains pour les activités sportives, jeux picards… qui au fil des saisons seront recouvert par l’eau. Un programme donc séquentiel fixant les endroits du parc et les activités possibles en fonction du temps et du niveau de l’eau et des crues : le parc qui nourrit là ville. L’esplanade servant de parking, car il serait idiot de vouloir faire disparaître totalement la voiture.

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Equipe D
Basé sur l’idée d’un lieu d’accueil de détente et de loisirs, et pour lui rendre sa vocation a recevoir l’événementiel. Parc historique suppose la suppression de son bassin car il n’y a plus de compétition d’aviron, son remplacement par une grande pelouse (équivalent de 4 terrains de football), une prairie inondable avec un podium/estrade, pour des spectacles d’une capacité de 20 000 personnes. Les deux rochers sont agrandis pour recevoir des spectateurs.
L’allée centrale devient un canal reliant le bassin rond a un autre a l’opposé plus petit, l’eau y est filtrée, lagunage.
Côté pelouse, une tour de 60mètres de haut, une bio-tour, conçue comme une serre mais à plusieurs niveaux. C’est une construction environnementale qui fonctionne à l’énergie solaire et la géothermie. Elle réagit au climat s’ouvre en été et se ferme l’hiver. Des jardins thématiques sont plantés au sol en forme de rosace en hommage à la cathédrale. Les activités elles-mêmes par blocs circulaires : un vélodrome circulaire, skate parc, multi basket. La route qui traverse le parc est conservée (là aussi, idiot d’exclure les voitures) mais une mise en circulation alternée avec un dépose minute, la circulation est réduite mais reste nécessaire.

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Equipe E
Le concours d’idées permet de se débarrasser des contraintes et d’imaginer, de rêver. Respect pour Jules Vernes, comme pour Vauban. Constat que le parc est en rupture avec la ville, isolé, il n’y a personne. Le parc mérite d’être animé, le dirigeable est un moyen d’avenir, en plein essor. Et comme le parc mérite un volume en hauteur. A 80 mètres de haut un parcours est possible, une mise en scène sans tomber dans le piège d’un parc d’attraction. Des cheminées crachant des nuages de couleurs son mis en scène avec une programmation, une mise en lumière. Le kiosque est transformé en jardin sensoriel, pour les musiques actuelles. Sur le bassin un village flottant, représente les villages lointains. Sur la pelouse une prairie sauvage est plus aléatoire et qui relie le parc « écologique, parc animalier » parc de type safari/ parc d’attraction, qui réunis faune et flore, avec une excroissance sur le bassin doté de 12 serres climatiques représentant les milieux du monde, les cultures équitables. Possibilité sur le bassin rond d’une scène en plein air posée sur l’eau et des tribunes.

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Equipe F
Une première partie du parc est dédiée aux jeux d’enfants, qui est modelé de terrains avec des couleur des formes pour diverses animations (jeu, ballon, squares, jardins des villes)
Le Champ de foire en matières minérales pour recevoir les animations polyvalentes (chapiteaux, foires) et jeux de ballon
Des passerelles permettent de franchir le boulevard, une certaine élévation.
Le Bosquet autour du kiosque est éclairci. Il relie l’axe central pour la promenade. Pour les manifestations de plein air, des gradins pour les spectateurs. Le carré Nord est revégétalisé. Un « phasme » géant fait de passerelles de bois permet de se promener au dessus des arbres avec des jeux d’enfant (accro branche) juste en dessous.
Pour le bassin des régates passage du sec a l’humide avec une prairie inondable en reconnexion avec les bras de la selle pour faire varier l’espace. Au milieu un boule, qui est une structure couverte avec une buvette/café donne une vue ludique sur un milieu exotique. Le bassin rond se traverse en totalité sur un petit tronçon.

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